J’ai toujours cru que la mort était une fenêtre. Or depuis quarante ans, quoi qu’on dise, grâce à la réanimation, grâce à l’IRM, grâce à des protocoles précis de contrôle neurologique on a fait des progrès dans l’examen de la fenêtre, on voit que de la lumière s’en échappe, on distingue quelque chose par la fente des volets.
J’ai toujours cru que la mort était une fenêtre. Or depuis quarante ans, quoi qu’on dise, grâce à la réanimation, grâce à l’IRM, grâce à des protocoles précis de contrôle neurologique on a fait des progrès dans l’examen de la fenêtre, on voit que de la lumière s’en échappe, on distingue quelque chose par la fente des volets. Christian Combaz