Il est naturel qu’un chien toujours couché avec la tête sur un lexique grec en vienne à détester d’aboyer ou de mordre qu’il finisse par préférer le silence du chat à l’exubérance de ses congénères et la sympathie humaine à toute autre.
Il est naturel qu’un chien toujours couché avec la tête sur un lexique grec en vienne à détester d’aboyer ou de mordre qu’il finisse par préférer le silence du chat à l’exubérance de ses congénères et la sympathie humaine à toute autre. Virginia Woolf