Quand vint son tour de répondre à la question marronnier des interviews des romanciers du vingtième siècle : « le libre arbitre, y croyez-vous ? », Isaac Bashevis Singer dit, la bouche en cœur : « Je n’ai pas le choix. »
Quand vint son tour de répondre à la question marronnier des interviews des romanciers du vingtième siècle : « le libre arbitre, y croyez-vous ? », Isaac Bashevis Singer dit, la bouche en cœur : « Je n’ai pas le choix. » Thomas Cathcart