La Fortune, comme une poétesse, crée des rôles de toutes sortes : le rôle du naufragé, du mendiant, de l’exilé, de l’homme connu, de l’homme inconnu. L’homme de bien doit donc bien jouer le rôle qu’elle lui a attribué, quel qu’il soit.
La Fortune, comme une poétesse, crée des rôles de toutes sortes : le rôle du naufragé, du mendiant, de l’exilé, de l’homme connu, de l’homme inconnu. L’homme de bien doit donc bien jouer le rôle qu’elle lui a attribué, quel qu’il soit.
auteur antique : Bion de Borysthène