Voilà où les jeunes gens sont réduits par la maudite avarice des pères et on s’étonne, après cela, que les fils souhaitent qu’ils meurent.
Voilà où les jeunes gens sont réduits par la maudite avarice des pères et on s’étonne, après cela, que les fils souhaitent qu’ils meurent. Molière