Parfois, on se dit qu’on ne s’arrêtera jamais de pleurer. Mais si, on s’arrête. D’épuisement. Quand le corps n’en peut plus, oblige au calme après le tourbillon démentiel de la détresse.
Parfois, on se dit qu’on ne s’arrêtera jamais de pleurer. Mais si, on s’arrête. D’épuisement. Quand le corps n’en peut plus, oblige au calme après le tourbillon démentiel de la détresse. Douglas Kennedy