À la mort de mon grand-père, je me suis retrouvé brutalement face à la réalité. J’avais quatre ans et un besoin de rêve, de fantastique, d’extravagance pour respirer. Le quotidien trop lisse m’angoissait. Je m’en échappais donc en me réfugiant dans l’imaginaire. En restant dans ma bulle et en faisant de la résistance.
À la mort de mon grand-père, je me suis retrouvé brutalement face à la réalité. J’avais quatre ans et un besoin de rêve, de fantastique, d’extravagance pour respirer. Le quotidien trop lisse m’angoissait. Je m’en échappais donc en me réfugiant dans l’imaginaire. En restant dans ma bulle et en faisant de la résistance. Bruno Crémer