A l’envoûtement de l’écriture succède un désenvoûtement, le vide. Quand je n’écris plus je me meurs.
A l’envoûtement de l’écriture succède un désenvoûtement, le vide. Quand je n’écris plus je me meurs. Hervé Guibert
A l’envoûtement de l’écriture succède un désenvoûtement, le vide. Quand je n’écris plus je me meurs. Hervé Guibert