A l’usine, l’idée de travailler moins, c’est le malheur, c’est la peur de la misère. C’est ancré profond. Finir par tout accepter pour juste pouvoir travailler. C’est ça que je trouve fou. Travailler. Dans n’importe quelles conditions. Elle est là la misère. Pas dans le porte-feuille à plat à la moitié du mois seulement.
A l’usine, l’idée de travailler moins, c’est le malheur, c’est la peur de la misère. C’est ancré profond. Finir par tout accepter pour juste pouvoir travailler. C’est ça que je trouve fou. Travailler. Dans n’importe quelles conditions. Elle est là la misère. Pas dans le porte-feuille à plat à la moitié du mois seulement. Jeanne Benameur