À partir d’une certaine heure, la nuit, les paroles n’ont plus d’importance. Ce sont juste des choses vagues qui meublent le silence. Des cadavres de mots. Des estasses verbales.
À partir d’une certaine heure, la nuit, les paroles n’ont plus d’importance. Ce sont juste des choses vagues qui meublent le silence. Des cadavres de mots. Des estasses verbales. Franz-Olivier Giesbert