À quoi bon cette agitation vaine, si le vent, derrière l’homme qui marche, balaie et emporte la trace de ses pas ? Il l’avait bien senti qu’il n’aurait point dû revenir, car le passé n’était que le cimetière de nos illusions, on s’y brisait les pieds contre des tombes.
À quoi bon cette agitation vaine, si le vent, derrière l’homme qui marche, balaie et emporte la trace de ses pas ? Il l’avait bien senti qu’il n’aurait point dû revenir, car le passé n’était que le cimetière de nos illusions, on s’y brisait les pieds contre des tombes. Emile Zola