Absorbé par les recherches sur l’infiniment grand, puis l’infiniment petit, le scientifique a négligé, de façon coupable, le fantastique potentiel de l’infiniment moyen.
Absorbé par les recherches sur l’infiniment grand, puis l’infiniment petit, le scientifique a négligé, de façon coupable, le fantastique potentiel de l’infiniment moyen. Grégoire Lacroix