Ah ! que pour ton bonheur je donnerais le mien, Quand même tu devrais n’en savoir jamais rien, S’il se pouvait, parfois, que de loin j’entendisse Rire un peu le bonheur né de mon sacrifice !.
Ah ! que pour ton bonheur je donnerais le mien, Quand même tu devrais n’en savoir jamais rien, S’il se pouvait, parfois, que de loin j’entendisse Rire un peu le bonheur né de mon sacrifice !. Edmond Rostand