Ainsi le bon discours, la bonne harmonie, la grâce et l’eurythmie dépendent de la simplicité du caractère, non au point de cette sottise que nous appelons gentiment simplicité, mais de la simplicité véritable d’un esprit qui allie la bonté à la beauté.
Ainsi le bon discours, la bonne harmonie, la grâce et l’eurythmie dépendent de la simplicité du caractère, non au point de cette sottise que nous appelons gentiment simplicité, mais de la simplicité véritable d’un esprit qui allie la bonté à la beauté. Platon