Alors des profondeurs du sol, où l’argile se cuit à feu couvert, jusqu’aux hauteurs du ciel où montent, aspirées, les molécules flamboyantes des poussières, s’élève l’édifice immense de l’été.
Alors des profondeurs du sol, où l’argile se cuit à feu couvert, jusqu’aux hauteurs du ciel où montent, aspirées, les molécules flamboyantes des poussières, s’élève l’édifice immense de l’été. Henri Bosco