Après que le malade a raconté son histoire une première fois, nous le convions à s’abandonner tout à fait aux pensées qui surgissent en lui et à faire part, sans aucune réserve critique, de ce qui lui vient à l’esprit.
Après que le malade a raconté son histoire une première fois, nous le convions à s’abandonner tout à fait aux pensées qui surgissent en lui et à faire part, sans aucune réserve critique, de ce qui lui vient à l’esprit. Freud