Assister à une autopsie, dans ces salles carrelées, totalement aseptisées et baignées d’une lumière trop artificielle était un moment difficile à passer : on pouvait supporter, mais on ne se blindait jamais.
Assister à une autopsie, dans ces salles carrelées, totalement aseptisées et baignées d’une lumière trop artificielle était un moment difficile à passer : on pouvait supporter, mais on ne se blindait jamais. Valentin Musso