Aucune démocratie, aucune république ne serait possible si l’on n’obéissait qu’aux lois que l’on approuve. Oui. Mais aucune ne serait acceptable s’il fallait, par obéissance, renoncer à la justice ou tolérer l’intolérable.
Aucune démocratie, aucune république ne serait possible si l’on n’obéissait qu’aux lois que l’on approuve. Oui. Mais aucune ne serait acceptable s’il fallait, par obéissance, renoncer à la justice ou tolérer l’intolérable. André Comte-Sponville