Aucune psychothérapie ne peut résorber la souffrance de ne plus souffrir dans sa chair, de souffrir seulement superficiellement, à la surface des choses ; d’être agacé des bouleversement du monde sans pouvoir s’en émouvoir outre mesure.
Aucune psychothérapie ne peut résorber la souffrance de ne plus souffrir dans sa chair, de souffrir seulement superficiellement, à la surface des choses ; d’être agacé des bouleversement du monde sans pouvoir s’en émouvoir outre mesure. Vincent Cespedes