Aux abords de la quarantaine on arrive à saturation, on est tellement blasé de la vie qu’on fait des enfants pour s’offrir une paire d’yeux toute neuve, qui pare le monde d’un intérêt renouvelé.
Aux abords de la quarantaine on arrive à saturation, on est tellement blasé de la vie qu’on fait des enfants pour s’offrir une paire d’yeux toute neuve, qui pare le monde d’un intérêt renouvelé. Jonathan Coe