Aux esclaves de la mode, quand toute jouissance d’amour-propre est enlevée, quand tout intérêt de passion est ravi, il reste pour plaisir le mouvement, la clarté des lustres, le bourdonnement de la foule. Après tous les rêves de l’amour ou de l’ambition subsiste encore le besoin de bruire, de remuer, de veiller, de dire : J’y étais hier, j’y serai demain.

octobre 11, 2012 Frédérick Jézégou

Aux esclaves de la mode, quand toute jouissance d’amour-propre est enlevée, quand tout intérêt de passion est ravi, il reste pour plaisir le mouvement, la clarté des lustres, le bourdonnement de la foule. Après tous les rêves de l’amour ou de l’ambition subsiste encore le besoin de bruire, de remuer, de veiller, de dire : J’y étais hier, j’y serai demain. George Sand

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Une pensée sur “Aux esclaves de la mode, quand toute jouissance d’amour-propre est enlevée, quand tout intérêt de passion est ravi, il reste pour plaisir le mouvement, la clarté des lustres, le bourdonnement de la foule. Après tous les rêves de l’amour ou de l’ambition subsiste encore le besoin de bruire, de remuer, de veiller, de dire : J’y étais hier, j’y serai demain.”

Esther
décembre 17, 2012 à 5:47

Quand "paraitre" passe avant "être"

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