Avant de partir, j’ai touché la main de la vieille femme, lisse et dure comme une pierre du fond de la mer, une seule fois, légèrement, pour ne pas l’oublier.
Avant de partir, j’ai touché la main de la vieille femme, lisse et dure comme une pierre du fond de la mer, une seule fois, légèrement, pour ne pas l’oublier. J. M. G. Le Clézio