Brassens a deux faces. Les plus délicats préféreront toujours « La chasse aux papillons » à « Hécatombe » sans voir qu’elles sont inséparables dans le cœur et dans l’esprit de leur auteur.
Brassens a deux faces. Les plus délicats préféreront toujours « La chasse aux papillons » à « Hécatombe » sans voir qu’elles sont inséparables dans le cœur et dans l’esprit de leur auteur. René Fallet
Deux farces.