Caresser la vertu sans être capable de l’aimer, c’est presser les deux belles mains d’une jeune femme dans les mains ridées de la vieillesse.
Caresser la vertu sans être capable de l’aimer, c’est presser les deux belles mains d’une jeune femme dans les mains ridées de la vieillesse. François-René de Chateaubriand