Ce n’est pas d’enlacer en mes bras le contour De ces bras, de ce sein ; d’embraser de ma flamme Ces lèvres de corail si fraîches ; non, Madame, Mon feu pour vous est pur, aussi pur que le jour.
Ce n’est pas d’enlacer en mes bras le contour De ces bras, de ce sein ; d’embraser de ma flamme Ces lèvres de corail si fraîches ; non, Madame, Mon feu pour vous est pur, aussi pur que le jour. Charles Augustin Sainte-Beuve