Ce n’est pas de ses seules mains qu’on est paresseux, toujours. Il y a des années où l’on se soucie d’amour autant que de travail, et qu’il vous pousse, pour ainsi dire, un poil dans le coeur.
Ce n’est pas de ses seules mains qu’on est paresseux, toujours. Il y a des années où l’on se soucie d’amour autant que de travail, et qu’il vous pousse, pour ainsi dire, un poil dans le coeur. Paul-Jean Toulet