Cela finissait par faire peur à Guérec, car rien ne lui prouvait que sa chance durerait toute sa vie.Est-ce que ce n’était pas son devoir de faire pardonner son bonheur en en donnant aux autres ?
Cela finissait par faire peur à Guérec, car rien ne lui prouvait que sa chance durerait toute sa vie.Est-ce que ce n’était pas son devoir de faire pardonner son bonheur en en donnant aux autres ? Georges Simenon