Certains corps miraculeux parviennent à réunir les trois. A l’opposé, le mien ne possédait pas une once de ces trois merveilles. Le manque était sa langue maternelle : il exprimait l’absence de force, l’absence de grâce et l’absence de plénitude. Il ressemblait à un hurlement de faim.
Certains corps miraculeux parviennent à réunir les trois. A l’opposé, le mien ne possédait pas une once de ces trois merveilles. Le manque était sa langue maternelle : il exprimait l’absence de force, l’absence de grâce et l’absence de plénitude. Il ressemblait à un hurlement de faim. Amélie Nothomb