Certes, il existe un clivage entre le sujet et l’organisme auquel il s’appareille, non par le biais de l’âme, mais grâce à la matérialité du langage. La parole est en quelque sorte clivée au corps et l’organisme en garde la mémoire, par exemple sous la forme du symptôme.
Certes, il existe un clivage entre le sujet et l’organisme auquel il s’appareille, non par le biais de l’âme, mais grâce à la matérialité du langage. La parole est en quelque sorte clivée au corps et l’organisme en garde la mémoire, par exemple sous la forme du symptôme. Gérard Pommier