C’est moi le tyran. Mais je ne serai pas sa prison. Je ne deviendrai pas celle qu’il n’en peut plus de ne pas pouvoir quitter. Je le laisserai partir sans combattre, parce que, en amour, combattre, c’est avoir déjà perdu. Alors je veux le courage de partir.
C’est moi le tyran. Mais je ne serai pas sa prison. Je ne deviendrai pas celle qu’il n’en peut plus de ne pas pouvoir quitter. Je le laisserai partir sans combattre, parce que, en amour, combattre, c’est avoir déjà perdu. Alors je veux le courage de partir. Hélène Grémillon