C’est seulement maintenant, au Pavillon Hermann (N. B. : pavillon pour les cancéreux), que je sais ce qui me manque, ce dont ma dernière maladie m’a privé, et dont au fond je ne peux pas me passer, si je veux une existence digne de ce nom.
C’est seulement maintenant, au Pavillon Hermann (N. B. : pavillon pour les cancéreux), que je sais ce qui me manque, ce dont ma dernière maladie m’a privé, et dont au fond je ne peux pas me passer, si je veux une existence digne de ce nom. Thomas Bernhard