C’était un idéal, un appel, qui prendrait de multiples visages, et se résumerait toujours à cette phrase, mille fois répétée par les militants : Quand un révolutionnaire tombe, il y a toujours dix mains pour ramasser son fusil.
C’était un idéal, un appel, qui prendrait de multiples visages, et se résumerait toujours à cette phrase, mille fois répétée par les militants : Quand un révolutionnaire tombe, il y a toujours dix mains pour ramasser son fusil. Jean-Christophe Grangé