Citation du 26 mai 2013
Si l’on s’aperçoit que l’adversaire est supérieur et que l’on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeants, blessants et grossiers. Être désobligeant, cela consiste à quitter l’objet de la querelle (puisqu’on a perdu la partie) pour passer à l’adversaire, et à l’attaquer d’une manière ou d’une autre dans ce qu’il est : on pourrait appeler cela l’argumentum ad personam pour faire la différence avec l’argumentum ad hominem.
- (fr) La Dialectique éristique (titre original Eristische Dialektik) (1830), Arthur Schopenhauer, éd. Mille et une nuits, 1998 (ISBN 978-2-755-50242-8), p. 66
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