Et comme un air qui sonne au bois creux des guitares, J’ai fait chanter mon rêve au vide de ton coeur.
Festons et astragales (1859), A une femme
On est plus près du coeur quand la poitrine est plate.
Festons et Astragales (1859)
Tu n’as jamais été, dans tes jours les plus rares, – Qu’un banal instrument sous mon archet vainqueur, – Et, comme un air qui sonne au bois creux des guitares, – J’ai fait chanter mon rêve au vide de ton coeur.
Festons et Astragales (1859)
Qu’importe ton sein maigre, ô mon objet aimé! – On est plus près du coeur quand la poitrine est plate: – Et je vois, comme un merle en sa cage enfermé, – L’amour entre tes os rêvant sur une patte.
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