Combien ce serait beau si, pour chaque mer qui nous attend, il y avait un fleuve pour nous. Et quelqu’un – un père, un amour, quelqu’un – capable de nous prendre par la main et de trouver ce fleuve – l’imaginer, l’inventer – et nous poser dans son courant, avec la légèreté de ce seul mot, adieu.
Combien ce serait beau si, pour chaque mer qui nous attend, il y avait un fleuve pour nous. Et quelqu’un – un père, un amour, quelqu’un – capable de nous prendre par la main et de trouver ce fleuve – l’imaginer, l’inventer – et nous poser dans son courant, avec la légèreté de ce seul mot, adieu. Alessandro Baricco