Combien le cœur de l’homme est insuffisant ! Il se refuse à la continuité des plus justes douleurs ; un long amour finit par le lasser ; il faut qu’il se repose ou qu’il change.
Combien le cœur de l’homme est insuffisant ! Il se refuse à la continuité des plus justes douleurs ; un long amour finit par le lasser ; il faut qu’il se repose ou qu’il change. Louise Ackermann