Comme la douceur de ta voix s’alliait aux tendres harmonies de l’air pur et des cieux tranquilles ! Pas un cri d’oiseau, pas une brise ; la solitude et nous ! Les feuillages immobiles ne tremblaient même pas dans ces admirables couleurs du couchant qui sont tout à la fois ombre et lumière
Comme la douceur de ta voix s’alliait aux tendres harmonies de l’air pur et des cieux tranquilles ! Pas un cri d’oiseau, pas une brise ; la solitude et nous ! Les feuillages immobiles ne tremblaient même pas dans ces admirables couleurs du couchant qui sont tout à la fois ombre et lumière Honoré de Balzac