Comme un chat qui s’étire, l’ombre de la maison s’allonge dans la cour, griffant les marches devant le portail. C’est l’heure où le jardin attend notre venue.
Comme un chat qui s’étire, l’ombre de la maison s’allonge dans la cour, griffant les marches devant le portail. C’est l’heure où le jardin attend notre venue. Chantal Dupuy-Dunier