Compatir aux maux d’autrui n’est qu’une vertu humaine, mais prendre part à la joie d’un autre appartient à un ange; et il est même aussi divin, et peut-être plus divin encore, de contempler le bonheur qui nous est étranger avec une véritable sympathie et une profonde Sensibilité, que de l’éprouver soi-même.
Compatir aux maux d’autrui n’est qu’une vertu humaine, mais prendre part à la joie d’un autre appartient à un ange; et il est même aussi divin, et peut-être plus divin encore, de contempler le bonheur qui nous est étranger avec une véritable sympathie et une profonde Sensibilité, que de l’éprouver soi-même.
Jean-Paul