Comprendre un être qu’on aime, ce n’est pas l’espionner : il faut que ce soit un don dans une surabondance d’aspirations heureuses. On ne doit reconnaître que ce qui enrichit. On dispense des qualités avec l’assurance absolue d’un accord déterminé à l’avance, de l’impossibilité d’aucune séparation.
Comprendre un être qu’on aime, ce n’est pas l’espionner : il faut que ce soit un don dans une surabondance d’aspirations heureuses. On ne doit reconnaître que ce qui enrichit. On dispense des qualités avec l’assurance absolue d’un accord déterminé à l’avance, de l’impossibilité d’aucune séparation. Robert Musil