Constance de Théis
J’ai pris ma palette, mes pinceaux j’ai tout disposé, et je me suis mise à l’ouvrage. Le feu des arts ressemble à celui de l’amour il enivre, il absorbe, il isole de l’univers et de soi-même.
J’ai pris ma palette, mes pinceaux j’ai tout disposé, et je me suis mise à l’ouvrage. Le feu des arts ressemble à celui de l’amour il enivre, il absorbe, il isole de l’univers et de soi-même.