Dans la retraite, le temps semble accélérer encore sa marche. Rien n’avertit de sa fuite ; c’est une onde sans murmure, parce qu’elle coule sans obstacle.
Dans la retraite, le temps semble accélérer encore sa marche. Rien n’avertit de sa fuite ; c’est une onde sans murmure, parce qu’elle coule sans obstacle. Sophie Swetchine