Dans la saison qui dépouille la nature, il n’est pas de brise, de souffle si léger qui ne soient assez forts pour détacher la feuille de l’arbre qui la portait. Dans l’automne du cœur, il ne se fait pas un mouvement qu’il n’emporte un bonheur ou une espérance.
Dans la saison qui dépouille la nature, il n’est pas de brise, de souffle si léger qui ne soient assez forts pour détacher la feuille de l’arbre qui la portait. Dans l’automne du cœur, il ne se fait pas un mouvement qu’il n’emporte un bonheur ou une espérance. Sophie Swetchine