Dans l’échelle des créatures, il n’ya que l’homme pour inspirer un dégoût soutenu. La répugnance que fait naître une bête est passagère ; elle ne mûrit nullement dans la pensée, tandis que nos semblables hantent nos réflexions.
Dans l’échelle des créatures, il n’ya que l’homme pour inspirer un dégoût soutenu. La répugnance que fait naître une bête est passagère ; elle ne mûrit nullement dans la pensée, tandis que nos semblables hantent nos réflexions. Emil Michel Cioran