De l’amour d’une langue à l’amour d’un pays, il y a un lien si fort qu’on ne le brise jamais malgré des mouvements d’humeur, des coups de désespoir, des accès de rage.
De l’amour d’une langue à l’amour d’un pays, il y a un lien si fort qu’on ne le brise jamais malgré des mouvements d’humeur, des coups de désespoir, des accès de rage. Michel Déon