De nos jours, on a l’impression que cette problématique du dialogue avec la mort est encore davantage esquivée, parce que nos sociétés occidentales sont bien plus concernées par l’avoir que par l’être.
De nos jours, on a l’impression que cette problématique du dialogue avec la mort est encore davantage esquivée, parce que nos sociétés occidentales sont bien plus concernées par l’avoir que par l’être. Michel Gaillard