De temps à autre, il retourne le folio pour vérifier qu’un œil avisé pourra percevoir le texte. Rassuré, il poursuit son œuvre. Ainsi écrit-il, dans l’urgence et la peur, sans l’aide de la foi. Car il est un moteur bien plus puissant que la foi : la perte de la foi.
De temps à autre, il retourne le folio pour vérifier qu’un œil avisé pourra percevoir le texte. Rassuré, il poursuit son œuvre. Ainsi écrit-il, dans l’urgence et la peur, sans l’aide de la foi. Car il est un moteur bien plus puissant que la foi : la perte de la foi. Éliette Abécassis