De tous les livres, celui que je préfère est mon passeport, unique in-octavo qui ouvre les frontières, missel enluminé de l’époque avionique. Quelques pages encore vierges, seule promesse tangible de nouveaux voyages, s’offrent potentiellement à toutes les images du monde.
De tous les livres, celui que je préfère est mon passeport, unique in-octavo qui ouvre les frontières, missel enluminé de l’époque avionique. Quelques pages encore vierges, seule promesse tangible de nouveaux voyages, s’offrent potentiellement à toutes les images du monde. Alain Borer