Dès le premier jour, dès l’appel du 18 juin 1940 dans lequel de Gaulle a expliqué que la perte d’une bataille ne voulait pas dire que nous avions perdu la guerre, une seule chose nous a guidés : l’optimisme, la conviction qu’en nous engageant, nous pouvions changer les choses.
Dès le premier jour, dès l’appel du 18 juin 1940 dans lequel de Gaulle a expliqué que la perte d’une bataille ne voulait pas dire que nous avions perdu la guerre, une seule chose nous a guidés : l’optimisme, la conviction qu’en nous engageant, nous pouvions changer les choses. Raymond Aubrac