Deux beaux yeux sont l’empire Pour qui je soupire, Sans eux rien ne m’est doux ; Donnez-moi cette joie Que je les revoie.
Deux beaux yeux sont l’empire Pour qui je soupire, Sans eux rien ne m’est doux ; Donnez-moi cette joie Que je les revoie. François de Malherbe